Mon Premier Voyage De Femme « Libre »… 9° Partie

Je vais prendre le métro pour aller déposer ma valise dans l'appartement de mon fils. Cet après-midi, je me promènerai avec mes 500 euros en poche. De quoi m'éclater. Et puis, quoi d'autre. Je regarde mon carnet rose où se trouvent les numéros de téléphone de quelques amis que nous avons rencontrés Paul et moi. Tiens, je vais téléphoner à Yves. Yves que je ne connais pas physiquement. C'est un ami de Paul avec qui j'ai dialé et nos échanges m'avaient perturbée. C'était la première fois que j'avais réussi à faire jouir un autre homme que Paul !
La première fois aussi que j'avais pris conscience de mon pouvoir...de la fragilité des hommes ...
Yves était surpris et perplexe de mon appel.
Il se reprit très vite et me fixa rendez-vous tout de suite dans un restaurant qui ne se trouvait pas trop loin de chez mon fils. J'avais juste le temps d'aller y déposer ma valise.

Me voici arrivée au restaurant. Avec un petit retard. J'ai eu du mal à trouver. Je ne suis pas une parisienne… Yves m'a envoyé un texto : je suis au fond du restaurant à gauche. J'ai une chemise blanche sans cravate. Je laisserai Libé sur la table.
Je me dis que je suis un peu folle. Yves m'a donné du plaisir par dial interposé, mais je ne le connais pas. Heureusement que c'est un ami de Paul. Il ne me fera pas de mal.
Et puis, c'est un lieu public. Si je décide de partir, je partirai.
A peine entrée, je visualise Yves. Lui aussi me repère car il me fait aussitôt des grands signes. Il est plutôt bel homme. Tout va bien.
"Bonjour Yves"
"Bonjour Éva". "Tu es magnifique. Encore plus belle que dans mes rêves les plus fous !"
"Assieds-toi".

Je vais laisser Yves raconter notre rencontre….

J’étais en train de travailler chez moi lorsque mon portable sonne…
- Allo? Yves?
- Oui
- Bonjour c’est Éva
- Éva? Éva?? Quelle surprise !! Que puis-je faire pour toi?
- Eh bien voilà, je viens d’arriver à Paris et je suis seule, je me disais que nous pourrions peut-être nous voir …
- Avec plaisir.

Retrouvons nous "Chez François", rue de la pompe, c'est dans le XVI°.

À peine raccroché, je fonce à la salle de bains pour me raser le sexe car j’ai bien l’intention d’en profiter lâchement si l’occasion se présente…. L’opération de rasage fut très facile car dès que le gel à raser fut dans ma main, je me mis à bander comme un fou en pensant à Éva…

C‘est une femme très sensuelle, pulpeuse, et ses formes m’excitent au plus haut point. J’ai eu l’occasion de la voir sur les nombreuses photos que m'a envoyées Paul. Et j'ai eu la chance de dialer avec elle. Et cette coquine avait réussi à me faire jouir avec ses mots …

Je suis arrivé un peu en avance au restaurant. J’en ai profité pour appeler Paul. Il était très excité au téléphone. Tous les deux faisons une belle paire !!!. Éva ne l’avait pas prévenue de notre rencontre, mais il se doutait bien pourquoi Éva avait souhaité me voir. Les choses s’annonçaient plutôt bien.

A l’heure prévue, j’entrais au restaurant. Elle n'était pas encore arrivée. Je lui envoyais un texto pour lui indiquer où j'étais installé. Dix minutes après, je la vis entrer dans le restaurant. Ce ne pouvait qu'être elle. Encore plus jolie que sur les photos de Paul.
Elle était habillée d’une jupe courte qui laissait deviner ses jolies fesses.

« Bonjour coquine! » elle sursauta et se mit à rougir en me voyant. Je lui fis la bise, et déjà son parfum m’enivrait.

Je la complimentais sur sa tenue, en lui faisant remarquer que son chemisier avait l’air malheureux d’être tout tendu de la sorte sous la pression de ses seins magnifiques..! La pauvre était rouge de confusion, mais je sentais en même temps que la situation la troublait.

Lui faisant remarquer qu’elle tournait le dos à la salle du restaurant, je lui demandais de déboutonner 1 ou 2 boutons pour libérer un peu de tension, et surtout pour me permettre de voir un peu plus sa belle poitrine… elle me dit que ce n’était pas raisonnable, et qu’en plus le serveur pouvait le remarquer… je n’insistais pas, mais j’étais bien décidé à la relancer plus tard…

Après avoir commandé le repas, et surtout une bouteille de Chablis, son vin préféré m’avait prévenu Paul, nous avons commencé à parler de tout et de rien car je sentais qu’il fallait que la tension retombe un peu.

Au deuxième verre de Chablis, je vis qu’elle avait un peu plus de couleurs, et que ses yeux brillaient. J’en profitais pour la complimenter sur sa beauté, et lui dit que les autres clients devaient être jaloux que je sois accompagné d’une femme aussi belle et aussi attirante…

- C’est vrai? Tu le penses vraiment??
- Bien sur, tu sais très bien que tu m’as toujours plu
- Je ne sais pas vraiment. Je me dis que tu veux simplement faire plaisir à Paul
- Pas du tout, la preuve il n’est pas là et je suis venu
- Je ne comprends pas ce qui t’attire chez moi... il y a des femmes plus belles et plus jeunes
- Sûrement, mais tu dégages beaucoup plus de sex appeal que ces petites jeunes, qui en plus ne rivalisent certainement pas avec toi au lit.

Surprise et souriante, elle se mit à rougir et à remuer sur sa chaise..
- Enlève 2 boutons de ton chemisier maintenant.
- Non, on pourrait me voir.
- S’il te plait, ne discute pas et fait ce que je te dis.

Tout en me regardant droit dans les yeux, elle ne bougea pas d’un pouce. Puis tout doucement, sans me quitter du regard, elle avança ses mains au ralenti vers son chemisier et déboutonna lentement un premier bouton. Le chemisier eut l’air de respirer un grand coup ! Elle continua et déboutonna un deuxième… Là, j’eus la confirmation qu’elle ne portait pas de soutien gorge. Ses seins apparaissaient, magnifiques, ses tétons semblaient traverser son chemisier, et je n’avais qu’une envie… les toucher et les prendre dans ma bouche. Je bandais comme un âne.

- C’est beaucoup mieux comme ça ? Tu ne trouves pas ? Maintenant recule un peu ta chaise que je puisse voir tes cuisses

Docile elle s’exécuta et recula sa chaise, tout en continuant à me regarder droit dans les yeux, les yeux plus brillants que jamais

- Écarte tes cuisses, je voudrai vérifier quelque chose… encore plus… maintenant remonte un peu ta jupe que je puisse voir ta petite chatte

La jupe remontée, les cuisses écartées, les seins à moitiés sortis du chemisier, elle était plus bandante et plus excitante que jamais….. je n’en pouvais plus.

Comme à son habitude elle ne portait pas de culotte. Sa chatte était toute lisse comme j’aime… Il était temps de passer à la vitesse supérieure, d’autant qu’elle aussi était dans tous ses états. Elle n’arrêtait pas de remuer sur sa chaise.

Heureusement que le service était presque terminé, car le serveur ne se montrait pas.
- Tu sais que tu me fais bander comme un âne?? Tu veux voir?
- Oui, chuchota-t-elle, en rougissant comme une pucelle…
- Alors descend aux toilettes et je te rejoins dans 2 mn !!!

Elle se leva au ralenti, regarda autour d’elle comme pour reprendre ses esprits, et se dirigea vers l’escalier qui descendait aux toilettes…